D'un bout à l'autre de l'Europe, nous sommes indignés
Tout tient en cette phrase : "Ce sont ceux qui ne sont pas responsables de la crise qui en portent le fardeau." Ou bien celle-ci encore : « qui peut accepter qu’un remède soit pire que le mal ? »
Le Parlement grec n’a pas voté librement mais sous la pression, celle des instances européennes, qui exigent toujours plus de sacrifices pour « sauver la Grèce » (comprendre lui « consentir » des prêts à un taux qui la saigne à blanc).
Quand on oppose la volonté populaire et l’intérêt général, il y a gros à parier que quelqu’un ment et que c’est la démocratie qui en fait les frais !
Le peuple grec, indigné et révolté, est puni pour des erreurs qu’il n’a pas commises.Le Parlement grec n’a pas voté librement mais sous la pression, celle des instances européennes, qui exigent toujours plus de sacrifices pour « sauver la Grèce » (comprendre lui « consentir » des prêts à un taux qui la saigne à blanc).
Quand on oppose la volonté populaire et l’intérêt général, il y a gros à parier que quelqu’un ment et que c’est la démocratie qui en fait les frais !
Les « aganaktismenois » (les « indignés » en grec) luttent non seulement pour eux-mêmes mais pour nous.
L’Union européenne trahit l’Europe. C'était prévisible après que le Traité de Lisbonne a effacé les refus référendaires français et néerlandais de la Constitution libérale proposée en 2005. Elle impose sa loi d’airain, appuyée sur les grandes banques qui prêtent aux États et les tiennent sous leur coupe.
L’Union européenne trahit l’Europe. C'était prévisible après que le Traité de Lisbonne a effacé les refus référendaires français et néerlandais de la Constitution libérale proposée en 2005. Elle impose sa loi d’airain, appuyée sur les grandes banques qui prêtent aux États et les tiennent sous leur coupe.
Faire cesser la domination de la finance internationale sur les politiques publiques : tel est l’enjeu.
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