Cette phrase a été prononcée par le Pape François lors de son retour depuis Cracovie après les Journées Mondiales de la Jeunesse.
Non content de mettre en
cause la société néo libérale de l'argent roi, il déclare :
« si je parle de violence islamique, alors je dois parler de
violence catholique » et il ajoute « une chose est
vraie : je crois qu’il y a presque toujours dans toutes les
religions un petit groupe de fondamentalistes. Nous en avons. »
C'est le monde à
l'envers et ses déclarations lui valent les faveurs du journal
l'Humanité, alors que l'éditorialiste du Figaro s'étrangle de rage
et que des extrémistes, justement, vont jusqu’à lancer une
pétition en ligne pour demander sa démission.
Ces propos du Pape
François qui sont, me semble-t-il, en accord avec les enseignements
de la religion catholique ne devraient pas choquer les croyants.
Ce qui est le plus
choquant, c'est qu'aucun leader d'opinion, aucun chef de gouvernement
ne reprenne à son compte les sentences que le Pape assène sur le
césarisme du monde occidental qui conduit l'humanité toute entière
à la faillite.
JCVitran - 05.08.16
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