Parfois,
au cours de l’Histoire des révoltes ont tenté, avec des succès
mitigés, de mettre fin aux injustices, aux inégalités, n'empêchant pas que,
depuis longtemps, « ils » dominent et imposent leur loi du
plus fort.
«
Ils » sont maîtres des leviers de commandes, de la liberté
d’expression, de la justice et par les médias, dont ils se sont
emparés, ils répandent leur doctrine capitaliste.
«
Ils » prêchent la pensée unique : il n'y a pas d'alternative,
seulement la soumission, l’ignorance, la servilité.
Cette
monarchie financière pense pour nous, agit pour nous, elle est le
pire fléau des peuples.
Elle
veut que nous soyons lisses, sans revendication et sans velléité
de révolte.
S'exprimer
de cette manière entraîne à être considéré comme idéologue,
comme complotiste.
Tant
pis !
La
majorité de nos contemporains reconnaît l’injustice du système
capitaliste fondé sur l’exploitation de la force de travail des
hommes ; ce système permet l’accumulation sans limite de richesses
en interdisant l’égalité des chances ; Ce système mine la
démocratie, en concentrant le pouvoir dans les mains d’un petit
nombre.
Mais,
la plupart d'entre nous, abusée dès l'école, comme des papillons
attirés par la lumière, ne remet pas le système en cause. Au
contraire, il cherche une place confortable à l'intérieur de ce système.
Pour
le peuple, remettre en question l'ordre établi serait remettre en
cause, non seulement un système d’inégalité mais aussi sa propre
possibilité d'en jouir comme les médias s'évertuent
continuellement à le laisser croire.
Combien d'élus au royaume du capital ?
Combien d'élus au royaume du capital ?
La
seule issue qui semble subsister est que la voracité du monstre
capitaliste dépasse la limite de l'acceptable, cependant, avant d'en
arriver à ce point de non retour, souhaitons que l’oligarchie
financière prenne conscience qu'elle entraîne le monde vers un
désastre majeur.
Enfin,
n’oublions jamais qu’ils sont peu, alors que nous sommes nombreux
!
JC Vitran - 28.12.16
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