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mercredi 28 décembre 2016

Finance mondiale.


Parfois, au cours de l’Histoire des révoltes ont tenté, avec des succès mitigés, de mettre fin aux injustices, aux inégalités, n'empêchant pas que, depuis longtemps, « ils » dominent et imposent leur loi du plus fort.

« Ils » sont maîtres des leviers de commandes, de la liberté d’expression, de la justice et par les médias, dont ils se sont emparés, ils répandent leur doctrine capitaliste.

« Ils » prêchent la pensée unique : il n'y a pas d'alternative, seulement la soumission, l’ignorance, la servilité.

Cette monarchie financière pense pour nous, agit pour nous, elle est le pire fléau des peuples.

Elle veut que nous soyons lisses, sans revendication et sans velléité de révolte.

S'exprimer de cette manière entraîne à être considéré comme idéologue, comme complotiste.

Tant pis !

La majorité de nos contemporains reconnaît l’injustice du système capitaliste fondé sur l’exploitation de la force de travail des hommes ; ce système permet l’accumulation sans limite de richesses en interdisant l’égalité des chances ; Ce système mine la démocratie, en concentrant le pouvoir dans les mains d’un petit nombre.

Mais, la plupart d'entre nous, abusée dès l'école, comme des papillons attirés par la lumière, ne remet pas le système en cause. Au contraire, il cherche une place confortable à l'intérieur de ce système.

Pour le peuple, remettre en question l'ordre établi serait remettre en cause, non seulement un système d’inégalité mais aussi sa propre possibilité d'en jouir comme les médias s'évertuent continuellement à le laisser croire.

Combien d'élus au royaume du capital ?

La seule issue qui semble subsister est que la voracité du monstre capitaliste dépasse la limite de l'acceptable, cependant, avant d'en arriver à ce point de non retour, souhaitons que l’oligarchie financière prenne conscience qu'elle entraîne le monde vers un désastre majeur.

Enfin, n’oublions jamais qu’ils sont peu, alors que nous sommes nombreux !
JC Vitran - 28.12.16

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