La grippe mexicaine, porcine, A, H1N1, proclamée pandémie, s'étendant sur la planète entière, qui n'est ni plus ni moins (plutôt moins jusqu'à présent...) dangereuse que la grippe ordinaire, fait l'objet d'une médiatisation à nulle autre pareille qui distille l'angoisse.
Cette grippe tue. Peu. Dans l'hémisphère sud, où s'inversent les saisons, la grippe A n'est guère plus mortelle que dans l'hémisphère Nord. Les annonces de catastrophe, au cours de notre prochain automne, en Europe, n'ont aucun caractère de certitude. Il n'est pas non plus certain que la grippe ne frappera pas des dizaines de milliers de personnes...
Laissons de côté l'horreur que représente l'exploitation commerciale de cette possibilité de risque sanitaire majeur. Les masques, les mouchoirs en papiers, les vaccins serviront ou ne serviront pas mais, en tout cas rapporteront beaucoup, beaucoup d'argent! Le coup est parti. Les engagements sont pris. Les labos seront payés. Non, là ne se loge pas le pire.
Il est hautement instructif d'apprendre qu'il est possible, en notre siècle, qu'une infection peut faire le tour de la Terre à une vitesse inimaginable et concerner des populations innombrables. Que peu ou beaucoup d'hommes et de femmes en soient victimes est presque devenu secondaire! L'information prioritaire est qu'une peste, noire, jaune ou blanche, peut submerger la planète. Et, ou bien n'y rien faire d'autre que ce qui s'y passe ordinairement, (quelques milliers de morts), ou bien : faire, sur la population mondiale, une large ponction inimaginable encore.
Les pouvoirs paniquent parce qu'ils n'auraient plus, en cette circonstance, aucun pouvoir. Les vaccins n'offrent qu'une protection supposée et de toute façon faible. Ils peuvent causer plus de dégâts qu'élever des barrières immunitaires! On ne se protège pas d'un virus qu'on ne connaît pas. Affaiblir les immunités au lieu des les étendre peut aggraver les catastrophes. En réalité, nous agitons du vent afin de nous rassurer. Pour les pouvoirs publics, ne rien faire est pire que tout et obligerait à reconnaître notre impuissance, (ce qui est impossible pour un État déjà placé sous la menace de bouleversements écologiques et sociaux comme on n'en a très rarement connus)!
Alors, il faut tirer d'un rien un bien (pour les gouvernements en place!). "Parions, se disent les responsables politiques aux affaires, que la grippe sera une grippette. On ne le sait pas, mais tablons sur cette probabilité. Voici une aubaine au moment où des insatisfactions peuvent déboucher sur des fortes contestations. Brisons les peurs par la peur".
Occupez vous de votre sort vital et point de votre sort social, nous suggèrent des médias tout à la fois habilement manipulés et manipulateurs, transmettant des informations d'autant plus crédibles qu'elles sont douteuses. Ce qui peut arriver est aussi dangereux que ce qui arrivera surement. Et comme il est impossible d'affirmer que le pire ne se produira pas, la panique devient, dans la presse, un beau sujet d'intérêt.
Le totalitarisme commence quand nul ne peut penser autrement que ce que les dirigeants d'un pays suggèrent. Au moment, historique, où une mutation de société s'annonce, ceux qui ne veulent voir rien changer qui bouleverserait leurs privilèges, ont la tentation de semer ces graines de panique et d'embrouiller les cerveaux.
Pour les personnalités politiques en exercice, de deux choses l'une : ou la grippe à venir sera terrible et il faudra survivre et permettre aux survivants de conserver leurs profits, ou bien, plus probablement, la grippe à venir n'aura que des effets réduits, et ce sera temps gagné si les citoyens rebelles se sont trouvés réduits au silence par leurs angoisses et les graves préoccupations de santé publique sans cesse commentées.
En clair, il est devenu très suspect qu'on parle de la grippe comme l'on parlerait d'on ne sait quel paludisme ou sida tueurs, qu'il faudrait combattre sans trop savoir comment s'y prendre. Du paludisme, du reste, le vrai, celui qui cause des millions de victimes, on ne se soucie guère, en vérité, de l'éradiquer, et si l'on jetait dans la balance de l'espoir de vivre, tout l'argent qu'on consacre à la lutte contre la grippe, cette fièvre jaune reculerait considérablement. Mais cela ne concerne, après tout, que des Africains...
Le totalitarisme nous enveloppe dans une une société où l'on peut survivre mais point vivre. On n'y peut exprimer que des pensées conventionnelles, celles qui s'imposent. Reste à former des hypothèses que, plus tard, l'histoire confirmera, peut-être...
Eh bien, formulons l'hypothèse que tout ce tapage autour de la grippe A est fait pour nous interdire d'entendre ce qui vient, les appels d'un Nouveau Monde tel que celui qu'annonçait Gustav Malher dans sa neuvième symphonie, ou Ludvig van Beethoven, lui aussi par une neuvième symphonie, dans l'Ode à la Joie. Alors que nul ne sait dire où nous allons, il nous est même interdit d'ouvrir les yeux pour choisir notre voie. Soyons lucides et ne nous laissons pas embarquer sur des vaisseaux fantômes. Vivons.
Cette grippe tue. Peu. Dans l'hémisphère sud, où s'inversent les saisons, la grippe A n'est guère plus mortelle que dans l'hémisphère Nord. Les annonces de catastrophe, au cours de notre prochain automne, en Europe, n'ont aucun caractère de certitude. Il n'est pas non plus certain que la grippe ne frappera pas des dizaines de milliers de personnes...
Laissons de côté l'horreur que représente l'exploitation commerciale de cette possibilité de risque sanitaire majeur. Les masques, les mouchoirs en papiers, les vaccins serviront ou ne serviront pas mais, en tout cas rapporteront beaucoup, beaucoup d'argent! Le coup est parti. Les engagements sont pris. Les labos seront payés. Non, là ne se loge pas le pire.
Il est hautement instructif d'apprendre qu'il est possible, en notre siècle, qu'une infection peut faire le tour de la Terre à une vitesse inimaginable et concerner des populations innombrables. Que peu ou beaucoup d'hommes et de femmes en soient victimes est presque devenu secondaire! L'information prioritaire est qu'une peste, noire, jaune ou blanche, peut submerger la planète. Et, ou bien n'y rien faire d'autre que ce qui s'y passe ordinairement, (quelques milliers de morts), ou bien : faire, sur la population mondiale, une large ponction inimaginable encore.
Les pouvoirs paniquent parce qu'ils n'auraient plus, en cette circonstance, aucun pouvoir. Les vaccins n'offrent qu'une protection supposée et de toute façon faible. Ils peuvent causer plus de dégâts qu'élever des barrières immunitaires! On ne se protège pas d'un virus qu'on ne connaît pas. Affaiblir les immunités au lieu des les étendre peut aggraver les catastrophes. En réalité, nous agitons du vent afin de nous rassurer. Pour les pouvoirs publics, ne rien faire est pire que tout et obligerait à reconnaître notre impuissance, (ce qui est impossible pour un État déjà placé sous la menace de bouleversements écologiques et sociaux comme on n'en a très rarement connus)!
Alors, il faut tirer d'un rien un bien (pour les gouvernements en place!). "Parions, se disent les responsables politiques aux affaires, que la grippe sera une grippette. On ne le sait pas, mais tablons sur cette probabilité. Voici une aubaine au moment où des insatisfactions peuvent déboucher sur des fortes contestations. Brisons les peurs par la peur".
Occupez vous de votre sort vital et point de votre sort social, nous suggèrent des médias tout à la fois habilement manipulés et manipulateurs, transmettant des informations d'autant plus crédibles qu'elles sont douteuses. Ce qui peut arriver est aussi dangereux que ce qui arrivera surement. Et comme il est impossible d'affirmer que le pire ne se produira pas, la panique devient, dans la presse, un beau sujet d'intérêt.
Le totalitarisme commence quand nul ne peut penser autrement que ce que les dirigeants d'un pays suggèrent. Au moment, historique, où une mutation de société s'annonce, ceux qui ne veulent voir rien changer qui bouleverserait leurs privilèges, ont la tentation de semer ces graines de panique et d'embrouiller les cerveaux.
Pour les personnalités politiques en exercice, de deux choses l'une : ou la grippe à venir sera terrible et il faudra survivre et permettre aux survivants de conserver leurs profits, ou bien, plus probablement, la grippe à venir n'aura que des effets réduits, et ce sera temps gagné si les citoyens rebelles se sont trouvés réduits au silence par leurs angoisses et les graves préoccupations de santé publique sans cesse commentées.
En clair, il est devenu très suspect qu'on parle de la grippe comme l'on parlerait d'on ne sait quel paludisme ou sida tueurs, qu'il faudrait combattre sans trop savoir comment s'y prendre. Du paludisme, du reste, le vrai, celui qui cause des millions de victimes, on ne se soucie guère, en vérité, de l'éradiquer, et si l'on jetait dans la balance de l'espoir de vivre, tout l'argent qu'on consacre à la lutte contre la grippe, cette fièvre jaune reculerait considérablement. Mais cela ne concerne, après tout, que des Africains...
Le totalitarisme nous enveloppe dans une une société où l'on peut survivre mais point vivre. On n'y peut exprimer que des pensées conventionnelles, celles qui s'imposent. Reste à former des hypothèses que, plus tard, l'histoire confirmera, peut-être...
Eh bien, formulons l'hypothèse que tout ce tapage autour de la grippe A est fait pour nous interdire d'entendre ce qui vient, les appels d'un Nouveau Monde tel que celui qu'annonçait Gustav Malher dans sa neuvième symphonie, ou Ludvig van Beethoven, lui aussi par une neuvième symphonie, dans l'Ode à la Joie. Alors que nul ne sait dire où nous allons, il nous est même interdit d'ouvrir les yeux pour choisir notre voie. Soyons lucides et ne nous laissons pas embarquer sur des vaisseaux fantômes. Vivons.
Et un mystère de plus, dans cette panique montante sur la grippe A ! Alertée par un virologue américain, Tom Jefferson, la presse allemande est en train de lever un drôle de lièvre, qui pourrait bien nourrir les débats de la rentrée. Elle relève l'étrange modification par l'OMS de sa définition de la "pandémie". En substance, auparavant, il fallait "de nombreux morts" pour que l'on puisse parler de pandémie. Or l'OMS vient de modifier en catastrophe cette définition. Exit la nécessité des "nombreux morts". Simple querelle sémantique ? Peut-être. Mais ce n'est pas l'avis de certains scientifiques, comme Jefferson, qui décèlent sous ce changement un coup de pouce donné par l'OMS à l'industrie pharmaceutique (dont elle a besoin pour financer ses actions) pour écouler davantage de vaccins. La grande chaîne publique ZDF, l'hebdomadaire Der Spiegel, ont ouvert le dossier.
Voir : Arrêt sur images n° 88.
Voir : Arrêt sur images n° 88.
Jean-Pierre Dacheux
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